Les parents d’enfants en situation de handicap trouvent dans les différentes méthodes thérapeutiques, une aide et un soutien. En France, il existe un grand nombre de thérapies dont une majorité n’est prise en charge ni par la Sécurité Sociale, ni par la Maison Départemental des Personnes Handicapées, ni par les Mutuelles. D’autres thérapies ne sont présentes qu’à l’Etranger.
Ces prises en charge représentent un surcoût dans le quotidien des familles qui se battent pour proposer les meilleurs soins à leurs enfants.
Les méthodes Padovan et Tomatis sont depuis longtemps expérimentées, reconnues par une partie de la communauté scientifique et elles ont fait leurs preuves. Elsa et Camille ont expérimenté la méthode Padovan et leurs parents ont pu constater des progrès significatifs. Malgré des progrès réels, Elsa a montré sa difficulté à suivre cette thérapie qui semblait pour elle source de souffrance. Elle a donc cessé de suivre la méthode Padovan et ses parents se sont tournés vers la méthode Tomatis qui semble mieux lui correspondre.
Les besoins des enfants évoluant, une approche motrice semblait dominée chez les personnes que l’association accompagne. C’est ainsi que depuis 4 ans des demandes ont été faites pour la metodo Essentis et depuis un an pour Aléas qui propose des sessions de motricité intensive. Ces deux approches ont lieu à Barcelone. Nous avons ainsi pu soutenir financièrement les familles de Camille, Gaëlle, Lune et Elsa.
Toutefois, l’association « les copains d’Elsa » ne saurait engager sa responsabilité quant aux choix des prises en charge choisies par les familles. Elle n’est nullement liée à la pratique d’une et une seule méthode. Elle se veut accompagnatrice du projet thérapeutique des parents en leurs accordant une aide financière, sous réserve de la moralité des thérapeutes.
